Personne sur la banquise avec un feu de détresse allumé

Constats
La France en danger

Chaque citoyen peut le constater. La destruction de la France s’est accélérée au rythme des crises orchestrées qui se sont succédé depuis des années. Avec la complicité active de gouvernants serviles, disposant de moyens considérables, et d’une immunité, une organisation déviante s’est progressivement infiltrée dans tous les corps d’État, l’éducation, les médias, la justice, les syndicats, les partis traditionnels, jusqu’à notre parlement.

En France, comme dans un grand nombre de pays, le droit d’origine anglo-saxonne s’est imposé, s’attaquant insidieusement et chaque jour davantage à notre souveraineté nationale et individuelle, aux valeurs de la République et à ses institutions, jusqu’aux libertés fondamentales. Notre démocratie est en danger. Nous le vivons tous les jours.

Depuis plusieurs décennies déjà, les politiques menées conduisent peu à peu vers une société ultra-individualiste, où des minorités puissantes sont déterminées à imposer des mesures disproportionnées au plus grand nombre au nom d’une sécurité fantasmée.

L’apparition ininterrompue de crises successives qui emplissent l’actualité et notre quotidien ne doit rien au hasard. Par le biais de méthodes d’ingénierie sociale, avec le très large soutien des médias comme de grands cabinets de conseils qui ont infiltré nos institutions, elles visent à accélérer et maîtriser des agendas de réformes que le peuple n’aurait pas accepté autrement.

La complicité des principaux médias est stupéfiante, aux mains de l’État et d’une poignée de milliardaires et d’intérêts privés. Une propagande de masse s’est imposée dans le paysage audiovisuel et l’essentiel de la presse généraliste, avec une homogénéisation et un appauvrissement accablant du discours médiatique, très loin de l’esprit d’un journalisme indépendant et de la charte de Munich censée en garantir les principes.

La dette publique historique de l’État a été sciemment dégradée depuis des décennies, au point de nous rendre totalement dépendants d’emprunts et de ce fait d’influences extérieures. Le paiement des seuls intérêts d’emprunts est aujourd’hui le 3ème poste de dépense du budget national, réduisant d’autant nos capacités d’investissements et de réformes structurelles dans le sens du bien commun. Sans même évoquer les milliards d’évasion fiscale qui manquent chaque année au budget de la France 

Notre souveraineté énergétique, alimentaire, sanitaire, numérique n’est plus assurée et désormais entre les mains de lobbies étrangers.

Tous nos services publics et notre protection sociale ont été progressivement dégradés au nom d’un libéralisme triomphant largement dicté par une Union européenne, trop peu démocratique et infiltrée elle aussi par des intérêts privés.

La crise sanitaire et sa gestion politique basée sur la peur ont été le prétexte d’instauration de mesures liberticides sans précédents, attaquant non seulement nos droits fondamentaux, mais aussi la santé physique et psychique de nos concitoyens, notamment celle des plus jeunes et des plus fragiles. 

La division a été instaurée dans notre société jusqu’au cœur des familles, tandis que la protection et l’avenir des enfants sont gravement menacés par les attaques d’un ‘soft power’ perverti, parfaitement maîtrisé et non sans conséquence pour l’humanité tout entière : dégradation de l’instruction et du langage, wokisme, théorie du genre, sexualisation précoce ; l’exception devient la règle.

L’instruction s’est peu à peu transformée en éducation d’État qui se substitue de plus en plus aux parents à des fins idéologiques et de formatage des esprits ; fondée sur un modèle économique de profit, de matérialité, loin des valeurs humanistes, la dévalorisation des métiers de l’enseignement et la mise en place de programmes vidés de leur sens et de leur contenu, induisent un nivellement par le bas, sauf dans certains milieux sociaux.

Les institutions garantes de notre Constitution en font aujourd’hui une interprétation spécieuse et un mauvais usage ; le conseil constitutionnel, le conseil d’État, et la représentation nationale parlementaire sont désormais totalement soumis et n’offrent plus les garanties d’un réel contre-pouvoir.

Notre droit, issu de notre tradition romaine de droit écrit, s’est progressivement transféré sur le terrain du droit maritime, d’essence commerciale sans limites et à son seul profit, par le bais d’une législation européenne qui s’infiltre et s’impose subrepticement aux États.

Notre justice n’offre pas davantage d’indépendance. Trop souvent soumise à des influences externes, et aux conflits d’intérêts, elle peine à dire le droit face aux atteintes liberticides croissantes et on ne peut qu’être choqués de certains jugements dans des affaires pédo-criminelles protégeant contre toute morale les auteurs, nous rapprochant chaque jour plus d’un État décadent.

Notre sécurité intérieure est de plus en plus inféodée à des ordres illégitimes ou contraires au droit ; la violence policière abusive, trop souvent observée, n’est plus véritablement évaluée ni sanctionnée par ses propres services, tandis que des forces étrangères interviennent sur notre territoire en parfaite opacité et que les revendications du peuple sont traitées à coup de matraques voire d’armes de guerre.

Nos industries, comme nos PME, sont la cible d’attaques massives au profit des multinationales. Les fermetures, rachats d’entreprises stratégiques et délocalisations ne se comptent plus, au nom d’une libre concurrence dévastatrice imposée par Bruxelles et d’une législation commerciale qui n’agit plus qu’à leurs seuls profits.

La pauvreté s’est développée en France, sous les coups cumulés d’une inflation massive, de la disparition d’emplois, des prix de l’énergie et bien d’autres facteurs. La classe moyenne tend à disparaitre tandis que les écarts salariaux entre les plus pauvres et les plus riches sont devenus vertigineux.

Des organisations internationales non élues, contrôlées par des intérêts (strictement) privés, décident désormais de pans entiers de notre vie et de notre destinée : WEF, OTAN, ONU, OMS, FMI, BCE, BRI… Les dirigeants politiques de notre pays, comme de beaucoup d’autres, apparaissent pour ce qu’ils sont en réalité : des marionnettes à la solde de ceux qui les ont fait élire, l’intérêt légitime du peuple français ne leur important pas.

Au fil des traités, l’idée fondatrice de l’Union Européenne a été détournée. Le traité de Lisbonne en 2007, ratifié malgré l’opposition populaire, a signé le divorce entre les Français et l’Europe. Une structure technocratique au service du grand capital, gangrenée par les lobbies des multinationales, sans réelle identité ni légitimité, régit désormais la vie des citoyens européens au mépris des libertés et du respect essentiel de la vie privée : restrictions des libertés de circulation, passeports vaccinaux, portefeuille numérique, euro numérique, …

La suite est connue. Si rien n’est fait, s’en suivra le très trompeur ‘programme de développement durable’ intitulé ’Agenda 2030’, adopté par les États membres de l’ONU, qui contient en germe toutes les promesses d’une dystopie technocratique au seul profit d’une petite élite autoproclamée, adepte d’une mondialisation sans partage, ni respect des peuples qui seront soumis à un contrôle social totalitaire: disparition de nos libertés fondamentales, suppression de la propriété privée, dépendance à la monnaie numérique et aux pass multiples, contrôle technologiques avancés, répression violente, contrôle des médias et de la pensée, censure  des opposants...

Voilà le monde Orwellien qui se dessine, pour nous et nos enfants, si les dépendances toxiques de la France ne sont pas stoppées de toute urgence.

Face à ce danger d’ampleur civilisationnelle, il ne s’agit plus de proposer une alternative politique conventionnelle, car face au dysfonctionnement actuel de nos institutions et considérant le jeu politicien des partis historiques, tout est fait pour que rien ne change.

Ensemble Pour les Libertés s’oppose radicalement à ces projets, et propose au contraire que nous reprenions en mains notre destin, qu’au travers notamment de la démocratie directe nous réanimions notre belle devise républicaine si malmenée au cours du dernier quinquennat : Liberté, Égalité, Fraternité.

Reposons collectivement les bases d’un futur désirable pour chaque citoyen et pour nos enfants, il est encore temps.