Action Média

Actions : Initiative
Action basée sur le récent 50ième anniversaire de la charte de Munich exigeant que les journalistes soient impartiaux et exposent tous les points de vue.

Objectif

Rappeler aux journalistes leurs obligations d'une information impartiale et plurielle.

Le dispositif devra être adapté en fonction de la configuration des lieux et des spécificités propres à chaque cas de figure et à chaque antenne locale EPL, mais en voici des grandes lignes :

  • L’action est basée sur le récent 50ième anniversaire de la charte de Munich exigeant que les journalistes soient impartiaux et exposent tous les points de vue. Il est possible en plus de préparer l’action en repérant les articles tendancieux qu’auraient pu écrire les médias ciblés dans les mois qui précédent l’action, afin de leur montrer en exemple de défaut d’impartialité.
  • Prévoir au moins 8 panneaux avec des slogans simples pouvant être lus facilement. Les intercalaires de bouteilles de supermarchés, en plastique (certains sont en carton et conviennent moins), conviennent bien et peuvent être tenus à la main devant soi – pas besoin de hampe ou perche.
  • Même si il ne s’agit pas d’une manifestation, il est conseillé de prévenir les forces de l’ordre et/ou les renseignements généraux si cela est possible et en fonction des spécificités locales.
  • Il est très important de filmer l’intégralité de la scène (possible avec un téléphone portable) de façon à couper court à toute polémique ultérieure éventuelle.
  • Les personnes tenant les panneaux se postent dans la rue devant les locaux des médias, de façon à être vues à la fois par les journalistes qui entrent ou sortent et par les passants et automobilistes. Idéalement à faire le matin à l’ouverture, ou après le déjeuner à la reprise, lorsque les journalistes entrent dans leurs locaux : le but est que les journalistes lisent les affiches en passant.
  • Un autre groupe (au moins 8 personnes de plus) doit se tenir à proximité pour donner plus de crédibilité au dispositif et pour permettre de répondre si besoin à des passants ou des journalistes. Ces personnes distribuent aussi les documents (scientifiques censurés, extrait de la charte de Munich, autres documents si besoin) aux journalistes qui entrent et éventuellement aux passants intéressés.
  • Le principe est de tenir les pancartes en silence et d’attendre que les journalistes viennent à notre rencontre. A ce moment là, on peut sortir du silence. En général, c’est assez rapide. 2 cas de figure :
  1. On engage une discussion approfondie sur place, il faut donc être prêt à discuter ou même à tenir une interview improvisée. Ne pas hésiter à utiliser un écrit si cela peut aider (par exemple la lettre de 8 pages de « laissons les médecins prescrire » qui constitue un bon tour d’horizon de la situation).
  2. On prend un RDV pour une conférence de presse ou un entretien ultérieur.

Une fois cet objectif de contact atteint, le dispositif peut être levé.

  • Le ton doit rester courtois et prudent, les journalistes sont en effet des professionnels de la communication et pourraient facilement détourner des propos. Il faut parvenir à leur demander courtoisement de mieux relater nos prises de positions et nos actions, en évitant de nous stigmatiser et de nous caricaturer. On peut aussi, suivant les cas, aller un peu plus loin et leur faire comprendre qu’un jour ils devront rendre des comptes si ils continuent à communiquer de façon univoque en relayant la politique sanitaire officielle sans aucun esprit critique et aucune investigation.
  • Il est important que le journal concerné comprenne que désormais il ne pourra plus écrire n’importe quoi, en toute impunité, mais que le peuple viendra à sa rencontre pour lui demander des comptes sur sa partialité. Il est donc conseillé de revenir régulièrement, au moins tant que le journal n’aura pas modifié sa ligne éditoriale concernant les opposants à la politique sanitaire du gouvernement.